Deux des plus importantes packages de Spring sont org.springframework.beans et org.springframework.context. Le code de ces packages fournit les dispositifs de base pour réaliser l'Inversion de Contrôle (alternativement appelé Injection de Dépendance). L'interface BeanFactory fournit un mécanisme avancé de configuration des beans managés de toute sorte, utilisant potentiellement n'importe quel type de stockage. L'interface ApplicationContext est construite au dessus de la classe BeanFactory et ajoute d'autres dispositifs comme une intégration plus facile avec l'AOP, la manipulation des messages (pour l'internationalisation), la propagation des événements, les mécanismes déclaratifs pour créer l'ApplicationContext et les contextes parents optionnels et des contextes spécifiques aux couches des applications comme WebApplicationContext, parmi d'autres.
En résumé, l'interface BeanFactory fournit la configuration du framework et de ses fonctionnalités de base, tandis que l'interface ApplicationContext ajoute des possibilités perfectionnées, dont certaines sont plus orientées J2EE et axées pour les applications d'entreprise. En général, un ApplicationContext est une surcouche complète d'un BeanFactory, et toutes les descriptions des possibilités d'un BeaFactory et comportement devraient être considérés comme appliquer aux ApplicationContexts eux-mêmes.
Parfois les utilisateurs ne sont pas sûrs laquelle des deux interfaces BeanFactory ou Application est bien adaptée pour un cas précis dans une situation particulière. Normalement pour la construction d'applications dans un environnement J2EE, la meilleure option est d'utiliser l'ApplicationContext, puisqu'il offre tous les dispositifs de BeanFactory et lui en ajoute d'autres tout en permettant également une approche déclarative pour l'utilisation de certaines fonctionnalités, qui est générallement souhaité. Le principal scénario d'utilisation où il est préférable d'utiliser BeanFactory, est quand la gestion de la mémoire est une grand préoccupation (comme dans le cas d'applets où chaque kilo octets compte), et tous les dispositifs de ApplicationContext sont nécessaires.
Ce chapître est divisé en deux parties. La première couvre les principes basiques qui s'appliquent aussi bien à BeanFactory qu'à ApplicationContext. La seconde partie s'applique à des dispositifs qui ne s'appliquent qu'à ApplicationContext.
L'interface BeanFactory est actuellement le conteneur qui instantie, configure et gère un ensemble de beans. Ces beans collaborent typiquement avec d'autres et ainsi ils ont des dépendances entre eux. Celles-ci sont reflétées dans la configuration utilisée par BeanFactory (bien que des dépendances peuvent ne pas être visible dans la configuration, elles peuvent plutôt être fonction d'intégrations réalisées par la programmation à l'exécution).
Une BeanFactory est représentée par l'interface org.springframework.beans.factory.BeanFactory pour laquelle il existe plusieurs implémentations. La plus simple et la plus communément utilisée implémentation de BeanFactory est org.springframework.beans.factory.xml.XmlBeanFactory. (Il devrait être identifié que les ApplicationContexts sont des sous classes de BeanFactory et que la plupart des utilisateurs préfèrent finalement les variantes de ApplicationContext basées sur XML).
Bien que, pour la plupart des scénarios, presque tout le code géré par BeanFactory n'a pas besoin d'avoir conscience de celle-ci, la BeanFactory doit être instancié. Cela se réalise explicitement avec un code similaire:
InputStream is = new FileInputStream("beans.xml"); XmlBeanFactory factory = new XmlBeanFactory(is);
ou
ClassPathResource res = new ClassPathResource("beans.xml"); XmlBeanFactory factory = new XmlBeanFactory(res);
ou
ClassPathXmlApplicationContext appContext = new ClassPathXmlApplicationContext( new String[] {"applicationContext.xml", "applicationContext-part2.xml"}); // of course, an ApplicationContext is just a BeanFactory BeanFactory factory = (BeanFactory) appContext;
Dans beaucoup de scénarios d'utilisation, le code développé n'a pas à instancier la BeanFactory, puisque le framework Spring le fera. Par exemple, la couche web fournit un support pour charger un ApplicationContext Spring automatiquement en tant que partie intégrante du processus de démarrage d'une application web J2EE. La déclaration du processus est décrite ici:
Comme la manipulation par la programmation des BeanFactories sera décrite plus tard, les sections suivantes se concentrent sur la description de la configuration des BeanFactories.
Une configuration de BeanFactory consiste, au niveau le plus basique, à définir un ou plusieurs beans que la BeanFactory doit gérer. Dans une XmlBeanFactory, ceux-ci sont configurés en tant qu'éléments bean imbriqués dans un élément racine beans.
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?> <!DOCTYPE beans PUBLIC "-//SPRING//DTD BEAN//EN" "http://www.springframework.org/dtd/spring-beans.dtd"> <beans> <bean id="..." class="..."> ... </bean> <bean id="..." class="..."> ... </bean> ... </beans>
Les définitions des beans dans les variantes de DefaultListableBeanFactory (comme XmlBeanFactory) sont représentées en tant qu'objets BeanDefinition, qui contiennent (parmi d'autres informations) les détails suivants:
un nom de classe: ceci est normalement la classe réelle d'implémentation du bean décrit dans la définition du bean. Cependant, si le bean est construit en appelant une méthode statique d'une fabrique au lieu d'un constructeur normal, ceci peut être le nom de la classe de la fabrique.
les éléments de configuration du comportement du bean qui établisse comme le bean devrait se comporter dans le conteneur (i.e. prototype ou singleton, mode automatique de détection des dépendances, mode de vérification des dépendances, méthodes d'initialisation et de finalisation).
les arguments du constructeur ou les valeurs des propriétés à positionner sur le bean nouvellement créé. Un exemple pourrait être le nombre de connexions à utiliser dans un bean qui gère un pool de connexions (aussi bien spécifié en tant que propriété ou argument d'un constructeur), ou la limite de taille du pool.
les autres beans dont un bean a besoin pour réaliser ses traitements, i.e. collaborateurs (également spécifiés comme propriétés ou arguments du constructeur). Ceux-ci peuvement également être appelés dépendances.
Les concepts listés ci-dessus traduisent en un ensemble d'éléments la définition d'un bean. Quelques groupes d'éléments sont listés ci-dessous, avec un lien vers une documentation les décrivant.
Table 3.1. Explication de la définition d'un Bean
Fonctionalité | Plus d'information |
---|---|
classe | Section 3.2.3, “La classe du bean” |
identifiant et nom | Section 3.2.4, “Les identifiants d'un bean (id et name)” |
singleton ou prototype | Section 3.2.5, “singleton ou pas singleton” |
arguments du constructor | Section 3.3.1, “Positionnement des propriétés de beans et collaborateurs” |
propriétés du bean | Section 3.3.1, “Positionnement des propriétés de beans et collaborateurs” |
mode détection automatique | Section 3.3.6, “Autowiring collaborators” |
mode de vérification des dépendences | Section 3.3.7, “Checking for dependencies” |
méthode d'initialisation | Section 3.4.1, “Lifecycle interfaces” |
méthode de finalisation | Section 3.4.1, “Lifecycle interfaces” |
Il est à noter que la définition d'un bean est représenté par une réelle interface org.springframework.beans.factory.config.BeanDefinition, et ses divers sous interfaces et implémentations. Cependant, il est très peu probable que du code utilisateur ne travaille avec un BeanDefinition.
En outre les définitions des beans qui contiennent des informations sur la façon de créer un bean ou une fabrique de beans, peuvent de plus autoriser l'utilisation d'instances existantes de beans.
L'attribut class est normalement obligatoire (voir Section 3.2.3.3, “Creation d'un bean via une méthode de fabrique d'instance” et Section 3.5, “Abstract and child bean definitions” pour les deux exceptions à la règle) et est utilisé pour un ou deux buts. Dans la plupart des cas classiques où la BeanFactory crée elle-même directement le bean en appelant son constructeur (equivalent à l'appel de new), l'attribut class spécifie la classe du bean à construire. Dans des cas moins fréquents où la BeanFactory appèle une méthode statique équivalente à une fabrique sur une classe pour créer le bean, l'attribut class spécifie la classe réelle contenant la méthode statique de fabrication. (le type du bean renvoyé par cette méthode peut être la même ou une autre classe, cela n'a aucune importance).
En créant un bean en utilisant l'approche basée sur le constructeur, toutes les classes normales sont utilisables par Spring et compatible avec ce framework. Cela signifie que la classe étant créée, n'a pas besoin d'implémenter aucune interface spécifique ou être développée d'une certaine manière. Le fait d'uniquement spécifier la classe du bean devrait suffir. Cependant, suivant le type d'IoC utilisé, il se peut d'un constructeur par défaut (vide) soit nécessaire.
De plus, la BeanFactory n'est uniquement limitée à gérer de véritable JavaBeans, elle est également capable de gérer pratiquement n'importe quelle classe voulue. La plupart des utilisateurs de Spring préfèrent avoir de vrais JavaBeans (ayant uniquement un constructeur par défaut (sans argument) et des accesseurs en lecture et écriture appropriés modélisés après les propriétés) dans la BeanFactory, mais il est également possible d'avoir, dans la BeanFactory, des classes plus exotiques n'adhérant pas au styles des beans. Si, par exemple, vous avez besoin d'utiliser un pool de connexion qui n'adhère pas à la spécification JavaBean, ne vous inquiètez pas, Spring peut quand même les gérer.
En utilisant XmlBeanFactory, la classe de votre bean peut être spécifiée de la manière suivante:
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean"/> <bean name="anotherExample" class="examples.ExampleBeanTwo"/>
Le méchanisme pour positionner (optionnel) les arguments d'un constructeur ou les propriétés d'une instance d'un objet après que celui-ci ait été créé, sera décrit sous peu.
Au moment de définit un bean qui est créé en utilisant un méthode statique de fabrique, en parallèle de l'attribut class qui spécifie le nom de la classe la contenant, un autre attribut nommé factory-method est nécessaire pour déterminer le nom de la méthode de fabrique. Spring prévoit d'être capable de l'appeler (avec une liste optionelle d'arguments comme décrit plus tard) et de récupérer une instance qui pourra, à partir de ce moment, être traité comme s'il avait été créé normalement via un constructeur. Une des utilisations de ce type de définition est d'appeler des fabriques statiques dans du code.
L'exemple suivant décrit une définition de bean qui spécifie que celui-ci doit être créé en appelant une méthode fabrique. Il est à noter que la définition ne spécifie pas le type (classe) de retour de l'objet mais seulement la classe contenant la méthode. Dans cet exemple, createInstance doit être une méthode static.
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean2" factory-method="createInstance"/>
Le méchanisme pour positionner (optionnel) les arguments d'un constructeur ou les propriétés d'une instance d'un objet après que celui-ci ait été créé, sera décrit sous peu.
La façon de créer un bean en utilisant une méthode de fabrique d'instance est similaire à celle pour une méthode statique, où une méthode d'un bean existant correspondant à une fabrique est appelé pour créer un nouveau bean.
Pour utiliser ce mécanisme, l'attribut class doit être laissé vide et l'attribut factory-bean doit spécifier le nom du bean une BeanFactory courante ou parente qui contient une méthode de fabrique. Celle-ci devrait encore elle-même être positionner via l'attribut factory-method.
Ce qui suite, illustre cela:
<!-- The factory bean, which contains a method called createInstance --> <bean id="myFactoryBean" class="..."> ... </bean> <!-- The bean to be created via the factory bean --> <bean id="exampleBean" factory-bean="myFactoryBean" factory-method="createInstance"/>
Bien que les mécanismes pour positionner les propriétés des beans doivent être encore détaillés, une implication de cette approche est que la BeanFactory peut être gérée et configurée via l'Injection de Dépendence par le conteneur.
Chaque bean possède un ou plusieurs ids (également appelés identifiants, ou noms; ces termes se réfèrent à la même chose). Ces ids doivent être unique dans la BeanFactory ou l'ApplicationContext où le bean se trouve. Un bean aura presque toujours un id, mais si un bean a plus d'un id, ceux supplémentaires seront considérés comme des alias.
Dans une XmlBeanFactory (incluant les variantes de ApplicationContext), les attributs id ou name sont utilisés pour spécifier l'(es) id(s) du bean et enfin un id doit être spécifié dans un ou les deux attributs. L'attribut id vous permet de spécifier un id, et comme cela est marqué dans la DTD XML (document de définition) comme un, le parseur est capable de faire quelques validations supplémentaires quand d'autres éléments pointent sur lui. En tant que tels, il s'agit de la manière recommandée de spécifier l'id d'un bean. Cependant, la spécification XML limite les caractères qui sont autorisés pour les IDs XML. Ce n'est pas habituellement une limitation, mais si vous devez utiliser l'un de ces caractères ou voulez ajouter d'autres alias au bean, vous pouvez également ou au lieu spécifier un ou plusieurs ids (séparés une virgule (,) ou un point virgule (;) avec l'attribut name.
Les beans sont définis pour être déployés dans l'un des deux modes suivants: singleton ou non-singleton. (Le dernier est également appelé un prototype, bien que le terme ne soit pas tout à fait adéquat). Quand un bean est un singleton, seulement une instance partagée du bean sera gérée et toutes les requêtes sur les beans dont le ou les ids correspondent à cette défintion utiliseront une instance spécifique retournée.
Le mode non-singleton ou prototype de déploiment d'un bean crée une nouvelle instance du bean à chaque fois qu'une requête sur un bean spécifique est faite. Ceci est idéal pour les situations où, par exemple, chaque utilisateur a besoin d'un objet indépendant de l'utilisateur ou une utilisation similaire.
Les beans sont déployés en mode singleton par défaut, à moins qu'il ne soit spécifié autre chose. Il faut garder à l'esprit qu'en changeant le type à non-singleton (prototype), chaque requête pour un bean resultera dans la création d'un bean nouvellement créé et ne sera pas peut-être ce qui est réellement voulu. De ce fait, changer le mode à prototype quand c'est absolument nécessaire.
Dans l'exemple ci-dessous, deux beans sont déclarés dont l'un est défini comme singleton, et l'autre est a non-singleton (prototype). exampleBean est créé à chaque fois qu'un client demande à la BeanFactory ce bean alors que yetAnotherExample est créé une seule fois; une référence à la même instance est retourné pour chaque requête sur le bean.
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean" singleton="false"/> <bean name="yetAnotherExample" class="examples.ExampleBeanTwo" singleton="true"/>
Note: quand a un bean est déployé dans le mode prototype, le cycle de vie du bean change lègerement. Par définition, Spring ne peut pas géré le cycle complet de vie d'un bean de type non-singleton/prototype puisque, après qu'il soit créé, il est donné au client et le conteneur ne garde plus de trace de lui. Vous pouvez voir le rôle de Spring comme une remplacement de l'opération 'new'. Les aspects de cycle de vie doivent être gérés par le client. Le cycle de vie d'un bean dans la BeanFactory est décrit dans Section 3.4.1, “Lifecycle interfaces”.
L'Inversion de Contrôle a déjà été désigné comme Injection de Dépendance. Le principe de base est que les beans définissent leurs dépendances (i.e. les autres objets avec lesquels ils travaillent) uniquement par le biais d'arguments de constructeurs, arguments d'une méthode de fabrique ou propriétés qui sont positionnées sur l'instance de l'objet qu'il ait été instancié ou retourné par une méthode de fabrique. Puis, le conteneur a réellement la responsabilité d'injecter ces dépendances au moment il crée le bean. Ceci est fondamentalement l'inversion (par conséquent le nom d'Inversion de Contrôle) de l'instanciation du bean ou de la localisation de ses dépendances par lui-même en utilisant l'instanciation direct de classes, ou un pattern comme le Service de Localication. ...
Comme cela a été abordé dans le précédent paragraphe, il existe deux variantes majeures de l'Inversion de Contrôle/Injection de Dépendance:
L'injection de dépendance basé sur le positionnement est réalisée en appelant les méthodes de positionnement sur les beans après l'invocation d'un constructeur sans argument ou une méthode de fabrique statique sans argument pour instancier le bean. Les beans qui utilise ce type d'injection de dépendance sont de vrais JavaBeans. Spring recommande l'usage de ce type d'injection de dépendance, puisqu'un grand nombre d'arguments de constructeurs peut être difficile à manipuler, particulièrement quand certaines propriétés sont optionnelles.
L'injection de dépendance basé sur le constructeur est réalisée en invoquant le constructeur avec un nombre d'arguments, chacun représentant un collaborateur ou une propriété. En plus, appeler une méthode de fabrique statique avec des arguments spécifiques, pour construire le bean, peut être considéré comme presque équivalent, et le reste de ce qui suit, considérera les arguments d'un constructeur et d'une méthode de fabrique statique comme similaire. Bien que Spring préconise l'utilisation de l'injection de dépendance basée sur le positionnement, il supporte complètement cette approche, puisqu'il se peut que vous ayez à utiliser des beans pré-existants qui fournissent uniquement des constructeurs pour passer les arguments et aucune méthode pour les positionner. De plus, pour des beans plus simples, certaines personnes préfèrent l'approche constructeur comme un moyen de s'assurer que les beans ne puissent pas être dans un état invalides.
La interface BeanFactory supportent ces deux variantes pour injecter les dépendances dans les beans qu'elle gère. (En fait elle supporte également l'injection de dépendances basé sur le positionnement après que certaines dépendances aient été renseignées avec l'approche basée sur le constructeur.) La configuration des dépendances se réalise via une BeanDefinition, qui est utilisée de concert avec des PropertyEditors JavaBeans pour savoir comment convertir les propriétés d'un format à un autre. Les véritables valeurs passées, sont fournies sous la forme d'objets PropertyValue. Cependant, la plupart des utilisateurs de Spring n'auront pas à se préoccuper de ces classes directement (i.e. par la programmation), mais utiliserons plutôt un fichier de définition XML qui sera converti en interne en des instances de ces classes, et utilisé pour charger une BeanFactory ou un ApplicationContext entier.
La résolution des dépendaces d'un bean se produit générallement de la manière suivante:
La BeanFactory est créée et initialisée avec une configuration qui décrit tous les beans. La plupart des utilisateurs de Spring utilisent une variante de BeanFactory ou ApplicationContext qui supporte les fichiers de configuration au format XML.
Chaque bean a ses dépendances exprimés sous forme de propriétés, arguments de constructeur ou arguments d'une méthode de fabrique statique quand cela est utilisé au lieu du constructeur normal.
Chaque propriété ou argument de constructeur est soit une réelle définition d'une valeur à positionner, soit une référence à un autre bean dans la BeanFactory. Dans le cas de l'ApplicationContext, la référence peut être vers un ApplicationContext parent.
Chaque propriété ou argument de constructeur qui a une valeur doit pouvoir être converti de n'importe quel format spécifié vers le type réel de la propriété ou de l'argument. Par défaut Spring peut convertir une valeur fournie sous forme de chaînes de caractères dans n'importe quel type intégré, comme int, long, String, boolean, etc. De plus, quand on parle des variants de la BeanFactory basées sur XML (incluant les variantes d'ApplicationContext), il y a des supports intégrés pour les types de collection Lists, Maps, Sets, et Properties. Par ailleurs, Spring utilisent les définitions de PropertyEditor des JavaBeans pour être capable de convertir des chaînes de caractères dans d'autres types de manière arbitraire. (Vous pouvez fournir à la BeanFactory vos propres définitions de PropertyEditor pour convertir vos propres types. Plus d'information à ce sujet et comment les ajouter manuellement peuvent être trouvées dans Section 3.9, “Registering additional custom PropertyEditors”). Quand une propriété d'un bean est une classe Java, Spring vous permettent de spécifier la valeur de cette propriété en tant que chaîne qui représente le nom de la classe et le PropertyEditor ClassEditor qui est intégré, et prend en charge la conversion du nom de la classe en une instance réelle de la classe.
Il est important d'être conscient que Spring validate la configuration de chaque bean de la BeanFactory quand celle-ci est créée, incluant la validation des propriétés qui font référence à des beans valides (i.e. les beans dont on fait référence, sont également définis dans la BeanFactory, ou dans le cas d'ApplicationContext, dans un contexte parent). Cependant, les propriétés elles-mêmes du bean ne sont pas positionnées jusqu'à ce que le bean soit réellement créé. Pour les beans qui sont des singletons et configurés pour être préinstanciés (comme les beans de type singleton dans un ApplicationContext), la création survient au moment où la BeanFactory est créée, mais autrement cela se produit uniquement quand le bean est demandé. Quand un bean doit réellement être créé, cela pourra potientiellement résulter dans un graph d'objets à créer comme les dépendances et les dépendances de ces dépendances (et ainsi de suite) doivent être créées et assignées.
Vous pouvez généralement avoir confiance en Spring pour faire le bon choix. Il ... les problèmes de configuration, incluant les beans qui n'existent pas and les dépendences circulaires au chargement de la BeanFactory. Il va réellement positionner les propriétés et résoudre les dépendences (i.e. créer ces dépendences si necessaire) le plus tard possible c'est-à-dire quand le bean est réellement créé. Cela signifie qu'une BeanFactory qui s'est correctement chargée, peut par la suite générer une exception quand un bean est demandé, s'il y a un problème pour créer un bean ou une de ces dépendences. Cela peut arriver si le bean lève une exception en réponse à une propriété invalide ou manquante, par exemple. Cela retarde potentiellement la visibilité de ces problématiques de configuration et c'est pour cette raison que l'ApplicationContext pré-instancie par défaut les beans de type singleton. Au prix d'un surcout en terme de time et de mémoire pour créer ces beans avant d'en avoir besoin, vous découvrez les éventuels problèmes de configuration quand l'ApplicationContext est créé, pas après. Si vous le désirez, vous pouvez également surcharger ce comportement par défaut et spécifier n'importe quel de ces singletons d'être charger à la demande (lazy-load) (ils ne sont pas préinstanciés).
Quelques exemples:
Premièrement, voici un exemple d'utilisation de la BeanFactory pour une injection de dépendences basée sur le positionnement. En dessous se trouve une petite partie d'un fichier de configuration d'une XmlBeanFactory, spécifiant quelques définitions de beans. Ensuite se trouve le code du bean principal lui-même, montrant les méthodes de positionnement appropriées.
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean"> <property name="beanOne"><ref bean="anotherExampleBean"/></property> <property name="beanTwo"><ref bean="yetAnotherBean"/></property> <property name="integerProperty"><value>1</value></property> </bean> <bean id="anotherExampleBean" class="examples.AnotherBean"/> <bean id="yetAnotherBean" class="examples.YetAnotherBean"/>
public class ExampleBean { private AnotherBean beanOne; private YetAnotherBean beanTwo; private int i; public void setBeanOne(AnotherBean beanOne) { this.beanOne = beanOne; } public void setBeanTwo(YetAnotherBean beanTwo) { this.beanTwo = beanTwo; } public void setIntegerProperty(int i) { this.i = i; } }
Comme vous pouvez le voir, les méthodes de positionnement ont été déclarées pour correspondre exactement aux propriétés spécifiées dans le fichier XML. (Les propriétés du fichier XML, font directement référence à l'objet PropertyValues de RootBeanDefinition).
Maintenant, voici un exemple de BeanFactory pour l'utilisation d'IoC type 3 (injection de dépendence basée sur les constructeurs). En dessous se trouve un extrait de la configuration XML qui spécifie les arguments du constructeur et le code réel du bean en montrant bien le constructeur:
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean"> <constructor-arg><ref bean="anotherExampleBean"/></constructor-arg> <constructor-arg><ref bean="yetAnotherBean"/></constructor-arg> <constructor-arg type="int"><value>1</value></constructor-arg> </bean> <bean id="anotherExampleBean" class="examples.AnotherBean"/> <bean id="yetAnotherBean" class="examples.YetAnotherBean"/>
public class ExampleBean { private AnotherBean beanOne; private YetAnotherBean beanTwo; private int i; public ExampleBean(AnotherBean anotherBean, YetAnotherBean yetAnotherBean, int i) { this.beanOne = anotherBean; this.beanTwo = yetAnotherBean; this.i = i; } }
Comme vous pouvez le voir, les arguments du constructeur spécifiés dans la définition du bean seront utilisés pour injecter des arguments au constructeur de la classe ExampleBean.
Désormais considérons une variante de cela où, au lieu d'utiliser un constructeur, on demande à Spring d'appeler une méthode de fabrique statique pour retourner une instance de l'objet:
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean" factory-method="createInstance"> <constructor-arg><ref bean="anotherExampleBean"/></constructor-arg> <constructor-arg><ref bean="yetAnotherBean"/></constructor-arg> <constructor-arg><value>1</value></constructor-arg> </bean> <bean id="anotherExampleBean" class="examples.AnotherBean"/> <bean id="yetAnotherBean" class="examples.YetAnotherBean"/>
public class ExampleBean { ... // a private constructor private ExampleBean(...) { ... } // a static factory method // the arguments to this method can be considered the dependencies of the bean that // is returned, regardless of how those arguments are actually used. public static ExampleBean createInstance( AnotherBean anotherBean, YetAnotherBean yetAnotherBean, int i) { ExampleBean eb = new ExampleBean(...); // some other operations ... return eb; } }
Il est à noter que les arguments de la méthode de fabrique statique sont fournis via les éléments constructor-arg exactement de la même manière que si un constructeur avait été utilisé en réalité. Ces arguments sont optionnels. En outre, il est important de comprendre que les type de la classe retournée par cette méthode ne doit pas être obligatoirement du même type que la classe qui contient la méthode de fabrique statique, même si c'est le cas dans cet exemple. Une méthode de fabrique d'instance (non statique), mentionnée précédemment, serait utilisée essentiellement d'une manière identique (si ce n'est l'utilisation de l'attribut factory-bean à la place de l'attribut class), et ne sera donc pas détaillé ici.
La résolution des arguments du constructeur se réalise en utilisant leur type. Quand un autre bezn est référencé, le type est connu et la correspondance peut être effectuée. Quand un type simple est utilisé, comme <value>true<value>, Spring ne peut déterminer le type correspondant à la valeur et ne peut donc pas faire la correspondance par type sans aide. Considérons la classe suivante, qui est utilisée dans les deux sections suivantes:
package examples; public class ExampleBean { private int years; //No. of years to the calculate the Ultimate Answer private String ultimateAnswer; //The Answer to Life, the Universe, and Everything public ExampleBean(int years, String ultimateAnswer) { this.years = years; this.ultimateAnswer = ultimateAnswer; } }
Le scénario ci-dessus peut utiliser la correpondance de type avec des types simples en spécifiant explicitement le type des arguments du constructeur en utilisant l'attribut type. Par exemple:
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean"> <constructor-arg type="int"><value>7500000</value></constructor-arg> <constructor-arg type="java.lang.String"><value>42</value></constructor-arg> </bean>
Les arguments de constructeur peuvent avoir leur index spécifié explicitement en utilisant l'attribut index. Par exemple:
<bean id="exampleBean" class="examples.ExampleBean"> <constructor-arg index="0"><value>7500000</value></constructor-arg> <constructor-arg index="1"><value>42</value></constructor-arg> </bean>
De la même manière qu'il résout l'ambiguité liée à de multiples valeurs simples, spécifier un index résoud également l'ambiguité quand un constructeur a deux arguments du même type. Il est à noter que l'index démarre à 0.
Spécifier l'index d'un argument de constructeur est la façon recommandée pour réaliser l'IoC basée sur les constructeurs.
Comme mentionné dans la section précédante, les propriétés de bean et les arguments de construteur peuvent être définies comme étant soit des références à d'autres beans gérés par Spring (collaborateurs) ou des valeurs définies directement à ce niveau. La XmlBeanFactory supporte un grand nombre de types de sous-éléménets dans ses éléments property et constructor-arg pour réaliser cela.
L'élément value spécifie une propriété ou un argument de constructeur dans sa représentation sous forme de chaînes de caractères (directement lisible). Comme mentionné en détail précédemment, les PropertyEditors JavaBeans sont utilisés pour convertir ces valeurs sous forme de chaînes d'un type java.lang.String vers le type réel de la propriété ou de l'arument.
<beans> <bean id="myDataSource" class="org.apache.commons.dbcp.BasicDataSource" destroy-method="close"> <!-- results in a setDriverClassName(String) call --> <property name="driverClassName"> <value>com.mysql.jdbc.Driver</value> </property> <property name="url"> <value>jdbc:mysql://localhost:3306/mydb</value> </property> <property name="username"> <value>root</value> </property> </bean> </beans>
L'élément null est utilisé pour réaliser des valeurs nulles. Spring traite les arguments vides pour les propriétés comme des chaînes vides. La configuration suivante:
<bean class="ExampleBean"> <property name="email"><value></value></property> </bean>
dans la propriété email positionnée à "" est équivalente au code java: exampleBean.setEmail(""). L'élément spécial <null> peut être utilisé pour indiquer une valeur nulle et de ce fait:
<bean class="ExampleBean"> <property name="email"><null/></property> </bean>
est équivalent au code java: exampleBean.setEmail(null).
Les éléments list, set, map, et props permettent définir et de positionner des propriétés et des arguments de type Java list, set, map, and props respectivement.
<beans> ... <bean id="moreComplexObject" class="example.ComplexObject"> <!-- results in a setPeople(java.util.Properties) call --> <property name="people"> <props> <prop key="HarryPotter">The magic property</prop> <prop key="JerrySeinfeld">The funny property</prop> </props> </property> <!-- results in a setSomeList(java.util.List) call --> <property name="someList"> <list> <value>a list element followed by a reference</value> <ref bean="myDataSource"/> </list> </property> <!-- results in a setSomeMap(java.util.Map) call --> <property name="someMap"> <map> <entry key="yup an entry"> <value>just some string</value> </entry> <entry key="yup a ref"> <ref bean="myDataSource"/> </entry> </map> </property> <!-- results in a setSomeSet(java.util.Set) call --> <property name="someSet"> <set> <value>just some string</value> <ref bean="myDataSource"/> </set> </property> </bean> </beans>
Il est à noter que la valeur d'une entrée dans une Map peut être n'importe lequel de ces éléments:
(bean | ref | idref | list | set | map | props | value | null)
Un élément bean dans un élément property est utilisé pour définir un bean directement, au lieu de faire une référence déjà défini quelque part dans la BeanFactory. Cette définition ne nécessite de ne définir aucun attribut id.
<bean id="outer" class="..."> <!-- Instead of using a reference to target, just use an inner bean --> <property name="target"> <bean class="com.mycompany.PersonImpl"> <property name="name"><value>Tony</value></property> <property name="age"><value>51</value></property> </bean> </property> </bean>
L'élément idref est simplement un raccourci et un moyen infaillible pour positionner une propriété avec un id ou un name, sous forme de chaîne de caractères, d'un autre bean dans le conteneur.
<bean id="theTargetBean" class="..."> </bean> <bean id="theClientBean" class="..."> <property name="targetName"> <idref bean="theTargetBean"/> </property> </bean>
Ceci est exactement équivalent à l'exécution à la configuration suivante;
<bean id="theTargetBean" class="..."> </bean> <bean id="theClientBean" class="..."> <property name="targetName"> <value>theTargetBean</value> </property> </bean>
La raison principale pour laquelle la première formulation est préférable, est que l'utilisation de la balise idref permet à Spring de valider au moment du déploiement que l'autre bean existe réellement. Dans la seconde forme, la classe qui a la propriété targetName est obligée de faire sa propre validation, ce qui se produira uniquement quand celle-ci sera réellement instanciée par Spring, probablement longtemps après que le conteneur ait été déployé.
De plus, si le bean référencé est dans le même fichier XML, et que le nom du bean est l'id du bean, l'attribut local peut être utilisé, ce qui permettra au parseur XML lui-même de valider le nom du bean au moment du parcours du document XML.
<property name="targetName"> <idref local="theTargetBean"/> </property>
L'élément ref est le dernier élément autorisé dans une définition de l'élément property. Il est utilisé pour positionner la valeur de la propriété spécifiée comme étant une référence à un autre bean géré par le conteneur, un collaborateur, pour ainsi dire. Comme cela a été mentionné dans la précédente section, le bean referred-to est considéré comme étant une dépendence du bean dont la propriété a été positionné et sera initialisé à la demande quand cela sera nécessaire (s'il s'agit d'un singleton, il peut déjà avoir été initialisé par le conteneur) avant que la propriété soit positionnée. Toutes les références sont finalement uniquement une référence à un autre objet, mais il y a trois variantes sur la façon dont id/name de l'autre objet peuvent être spécifiés, ce qui déterminent la façon dont la portée et la validation sont prises en compte.
Spécifier le bean cible en utilisant l'attribut bean de la balise ref est la façon la plus courante, et permettra de créer une référence sur n'importe quel bean dans les mêmes BeanFactory/ApplicationContext (s'ils se trouvent ou non dans le même fichier XML), ou des BeanFactory/ApplicationContext parents. La valeur de l'attribut bean peut être le même que l'attribut id du bean cible, ou une des valeurs de l'attribut name de ce même bean.
<ref bean="someBean"/>
Spécifier le bean cible en utilisant l'attribut local permet au parseur XML de valider les références des id XML dans le même fichier. La valeur de l'attribut local doit la même que l'attribut id du bean cible. Le parseur XML remontera une erreur si aucun élément correspondant n'est trouvé dans le même fichier. De ce fait, utiliser local est le meilleur choix (pour connaître les erreurs le plus tôt possible) si le bean cibl est dans le même fichier XML.
<ref local="someBean"/>
Spécifier le bean cible en utilisant l'attribut parent permet à une référence d'être créée sur un bean qui est dans une BeanFactory parente (ou ApplicationContext) de la BeanFactory courante (or ApplicationContext). La valeur de l'attribut parent peut être le même que l'attribut id du bean cible, ou une des valeurs de l'attribut name de ce même bean, et le bean cible doit être dans une BeanFactory ou un ApplicationContext parent par rapport au courant. L'utilisation principale de cette variante de référence à un bean est quand il y a un besoin d'envelopper un bean existant dans un contexte parent avec des proxies (qui peuvent avoir le même nom que le parent), et ont besoin du l'objet original à cet effet.
<ref parent="someBean"/>
Pour la plupart des utilisateursn la majorité des beans dans le conteneur seront des singletons. Quand un singleton a besoin de collaborer ou utiliser un autre singleton, ou un non-singleton a besoin avec un autre, l'approche typique et communément utilisée pour traiter cette dépendance en définisant un bean comme étant un propriété de l'autre, est appropriée. Il y a cependant un problème quand les cycles de vie des beans sont différent. Considérons un singleton A qui a besoin d'utiliser un non-singleton (prototype) B, peut-être sur chaque invocation de méthodes de A. Le conteneur créera seulement le singleton A une fois, et ainsi aura la possibilité de positionner ces propriétés une fois. Il n'y a pas de possibilité pour le conteneur de fournir une bean A avec une nouvelle instance de B à chaque fois qu'une nouvelle est nécessaire.
Une solution pour résoudre ce problème est de rénoncer à quelques inversions de contrôle. Le bean A peut être conscient du conteneur (comme décrit ici) en implémentant l'interface BeanFactoryAware, et utiliser la programmation (comme décrit here) pour pour demander directement au conteneur via l'appel getBean("B") un (nouveau) bean B chaque fois que A en a besoin. De manière générale, il ne s'agit pas d'une solution souhaitable puisque le code du bean est ensuite conscient et couplé à Spring.
L'Injection par méthode, un dispositif avancé de la BeanFactory, permet ce cas d'utilisation pour traiter d'une manière propre de même que d'autres scénarios.
L'injection par méthode de recherche se réfère à la possibilité du conteneur de surcharger des méthodes abstraites ou concrètes sur des beans gérés par le conteneur, pour retourner le résultat d'une recherche d'une autre bean défini dans le conteneur. Cela se fera typiquement pour la recherche d'un non-singleton aussi bien que pour le scéario décrit précédemment (bien qu'il puisse également être un singleton). Spring implémente cela au moyen d'une sous-classe générée dynamiquement qui surcharge la méthode en utilisant la génération de bytecode via la bibliothèque CGLIB.
Dans la classe cliente contenant la méthode à injecter, la définition de la méthode doit être défini de manière abstraite (ou concrète) de cette manière:
protected abstract SingleShotHelper createSingleShotHelper();
Si la méthode n'est pas abstraite, Spring surchargera simplement l'implémentation existante. Dans le cas de XmlBeanFactory, vous spécifiez à Spring pour injecter/surcharger la méthode retournant un bean particulier à partir du conteneur, en utilisant l'élément lookup-method dans la définition du bean. Par exemple:
<!-- a stateful bean deployed as a prototype (non-singleton) --> <bean id="singleShotHelper class="..." singleton="false"> </bean> <!-- myBean uses singleShotHelper --> <bean id="myBean" class="..."> <lookup-method name="createSingleShotHelper" bean="singleShotHelper"/> <property> ... </property> </bean>
Le bean identifié par myBean appellera sa propre méthode createSingleShotHelper toutes les fois qu'il aura besoin d'une nouvelle instance du bean singleShotHelper. Il est important de noter que la personne déployant les beans doit faire attention à déplouer singleShotHelper comme un non-singleton (si c'est ce qui est voulu). S'il est déployé comme un singleton (soit explicitement, ou en comptant sur la valeur par défaut true pour ce paramètre), la même instance de singleShotHelper sera retournée à chaque fois!
Noter que la méthode d'injection par recherche peut être combinée avec l'Injection par Constructeur (fournissant des arguments optionnels au bean étant construit), et également avec l'Injection par Positionnement (positionnant les propriétés sur le bean étant construits).
Une forme d'injection moins utilisée communément que l'Injection par Méthode de Recherche est la possibilité de remplacer arbitrairement des méthodes d'un bean par une autre implémentation de celle-ci. Les utilisateurs peuvent sans risque passer le reste de la section (qui décrit cette fonctionnalité avancée), à moins qu'il n'en ait réellement besoin.
Dans une XmlBeanFactory, l'élément replaced-method peut être utilisé pour remplacer une implémentation d'une méthode existante par une autre, pour un bean déployé. Considérons la classe suivante, avec une méthode computeValue, que l'on veut surcharger:
... public class MyValueCalculator { public String computeValue(String input) { ... some real code } ... some other methods }
Une classe implémentant l'interface org.springframework.beans.factory.support.MethodReplacer est nécessaire pour fournir la définition de la nouvelle méthode.
/** meant to be used to override the existing computeValue implementation in MyValueCalculator */ public class ReplacementComputeValue implements MethodReplacer { public Object reimplement(Object o, Method m, Object[] args) throws Throwable { // get the input value, work with it, and return a computed result String input = (String) args[0]; ... return ...; }
La définition dans la BeanFactory pour déployer la classe de base et spécifier la méthode à surcharger ressemblera à cela:
<bean id="myValueCalculator class="x.y.z.MyValueCalculator"> <!-- arbitrary method replacement --> <replaced-method name="computeValue" replacer="replacementComputeValue"> <arg-type>String</arg-type> </replaced-method> </bean> <bean id="replacementComputeValue" class="a.b.c.ReplaceMentComputeValue"> </bean>
Un ou plusieurs sous-éléments arg-type de l'élément replaced-method peuvent être utilisés pour indiquer la signature de la méthode à surcharger. Noter que cette signature est seulement nécessaire réellement dans le cas où la méthode est réellement surchargée et qu'il y a plusieurs variantes dans la classe. Par convenance, la chaîne décrivant le type pour un argument peut être une sous-chaîne du nom complet du type. Par exemple, tous les formes suivantes correspondront à java.lang.String.
java.lang.String String Str
Puisque le nombre des arguments est parfois suffisant pour distinguer les différents choix possibles, ce raccourci peut alléger la définition en utilisant juste la plus courte chaîne correspondant à un type.
Dans la plupart des situations, le fait qu'un bean soit dépendant d'un autre, exprime simplement le fait qu'un bean est positionné comme une propriété d'un autre. Cela est typiquement réalisé avec l'élément ref dans la XmlBeanFactory. Comme variante de celle, souvent un bean qui utilise le conteneur, reçoit simplement l'identifiant de sa dépendance (en utilisant la valeur sous forme de chaîne, ou l'élément idref qui évalue cette même chaîne). Le premier bean demande ensuite par la programmation au conteneur ses dépendances. Dans les deux cas, la dépendance est correctement initialisée avant le bean dépendant.
Pour les situations peu fréquentes où les dépendances entre les beans sont moins directes (par exemple, quand un initialiseur statique dans une classe a besoin d'être déclenché, comme l'enregistrement d'un pilote de base de données), l'élément depends-on peut être utilisé pour forcer explicitement un ou plusieurs beans à être initialisés avant l'initialisation du bean utilisant cet élément.
Ce qui suit est un exemple de configuration:
<bean id="beanOne" class="ExampleBean" depends-on="manager"> <property name="manager"><ref local="manager"/></property> </bean> <bean id="manager" class="ManagerBean"/>
A BeanFactory is able to autowire relationships between collaborating beans. This means it's possible to automatically let Spring resolve collaborators (other beans) for your bean by inspecting the contents of the BeanFactory. The autowiring functionality has five modes. Autowiring is specified per bean and can thus be enabled for some beans, while other beans won't be autowired. Using autowiring, it is possible to reduce or eliminate the need to specify properties or constructor arguments, saving a significant amount of typing.[1]In an XmlBeanFactory, the autowire mode for a bean definition is specified by using the autowire attribute of the bean element. The following values are allowed.
Table 3.2. Autowiring modes
Mode | Explanation |
---|---|
no | No autowiring at all. Bean references must be defined via a ref element. This is the default, and changing this is discouraged for larger deployments, since explicitly specifying collaborators gives greater control and clarity. To some extent, it is a form of documentation about the structure of a system. |
byName | Autowiring by property name. This option will inspect the BeanFactory and look for a bean named exactly the same as the property which needs to be autowired. For example, if you have a bean definition which is set to autowire by name, and it contains a master property (that is, it has a setMaster(...) method), Spring will look for a bean definition named master, and use it to set the property. |
byType | Allows a property to be autowired if there is exactly one bean of the property type in the BeanFactory. If there is more than one, a fatal exception is thrown, and this indicates that you may not use byType autowiring for that bean. If there are no matching beans, nothing happens; the property is not set. If this is not desirable, setting the dependency-check="objects" attribute value specifies that an error should be thrown in this case. |
constructor | This is analogous to byType, but applies to constructor arguments. If there isn't exactly one bean of the constructor argument type in the bean factory, a fatal error is raised. |
autodetect | Chooses constructor or byType through introspection of the bean class. If a default constructor is found, byType gets applied. |
Note that explicit dependencies, i.e. property and constructor-arg elements, always override autowiring. Autowire behavior can be combined with dependency checking, which will be performed after all autowiring has been completed.
Note: as has already been mentioned, for larger applications, it is discouraged to use autowiring because it removes the transparency and the structure from your collaborating classes.
Spring has the ability to try to check for the existence of unresolved dependencies of a bean deployed into the BeanFactory. These are JavaBeans properties of the bean, which do not have actual values set for them in the bean definition, or alternately provided automatically by the autowiring feature.
This feature is sometimes useful when you want to ensure that all properties (or all properties of a certain type) are set on a bean. Of course, in many cases a bean class will have default values for many properties, or some properties do not apply to all usage scenarios, so this feature is of limited use. Dependency checking can also be enabled and disabled per bean, just as with the autowiring functionality. The default is to not check dependencies. Dependency checking can be handled in several different modes. In an XmlBeanFactory, this is specified via the dependency-check attribute in a bean definition, which may have the following values.
Table 3.3. Dependency checking modes
Mode | Explanation |
---|---|
none | No dependency checking. Properties of the bean which have no value specified for them are simply not set. |
simple | Dependency checking is performed for primitive types and collections (everything except collaborators, i.e. other beans) |
object | Dependency checking is performed for collaborators |
all | Dependency checking is done for collaborators, primitive types and collections |
Spring provides several marker interfaces to change the behavior of your bean in the BeanFactory. They include InitializingBean and DisposableBean. Implementing these interfaces will result in the BeanFactory calling afterPropertiesSet() for the former and destroy() for the latter to allow the bean to perform certain actions upon initialization and destruction.
Internally, Spring uses BeanPostProcessors to process any marker interfaces it can find and call the appropriate methods. If you need custom features or other lifecycle behavior Spring doesn't offer out-of-the-box, you can implement a BeanPostProcessor yourself. More information about this can be found in Section 3.7, “Customizing beans with BeanPostprocessors”.
All the different lifecycle marker interfaces are described below. In one of the appendices, you can find diagram that show how Spring manages beans and how those lifecycle features change the nature of your beans and how they are managed.
Implementing the org.springframework.beans.factory.InitializingBean allows a bean to perform initialization work after all necessary properties on the bean are set by the BeanFactory. The InitializingBean interface specifies exactly one method:
* Invoked by a BeanFactory after it has set all bean properties supplied * (and satisfied BeanFactoryAware and ApplicationContextAware). * <p>This method allows the bean instance to perform initialization only * possible when all bean properties have been set and to throw an * exception in the event of misconfiguration. * @throws Exception in the event of misconfiguration (such * as failure to set an essential property) or if initialization fails. */ void afterPropertiesSet() throws Exception;
Note: generally, the use of the InitializingBean marker interface can be avoided (and is discouraged since it unnecessarily couples the code to Spring). A bean definition provides support for a generic initialization method to be specified. In the case of the XmlBeanFactory, this is done via the init-method attribute. For example, the following definition:
<bean id="exampleInitBean" class="examples.ExampleBean" init-method="init"/> public class ExampleBean { public void init() { // do some initialization work } }
Is exactly the same as:
<bean id="exampleInitBean" class="examples.AnotherExampleBean"/> public class AnotherExampleBean implements InitializingBean { public void afterPropertiesSet() { // do some initialization work } }
but does not couple the code to Spring.
Implementing the org.springframework.beans.factory.DisposableBean interface allows a bean to get a callback when the BeanFactory containing it is destroyed. The DisposableBean interface specifies one method:
/** * Invoked by a BeanFactory on destruction of a singleton. * @throws Exception in case of shutdown errors. * Exceptions will get logged but not re-thrown to allow * other beans to release their resources too. */ void destroy() throws Exception;
Note: generally, the use of the DisposableBean marker interface can be avoided (and is discouraged since it unnecessarily couples the code to Spring). A bean definition provides support for a generic destroy method to be specified. In the case of the XmlBeanFactory, this is done via the destroy-method attribute. For example, the following definition:
<bean id="exampleInitBean" class="examples.ExampleBean" destroy-method="cleanup"/> public class ExampleBean { public void cleanup() { // do some destruction work (like closing connection) } }
Is exactly the same as:
<bean id="exampleInitBean" class="examples.AnotherExampleBean"/> public class AnotherExampleBean implements DisposableBean { public void destroy() { // do some destruction work } }
but does not couple the code to Spring.
Important note: when deploying a bean in the prototype mode, the lifecycle of the bean changes slightly. By definition, Spring cannot manage the complete lifecycle of a non-singleton/prototype bean, since after it is created, it is given to the client and the container does not keep track of it at all any longer. You can think of Spring's role when talking about a non-singleton/prototype bean as a replacement for the 'new' operator. Any lifecycle aspects past that point have to be handled by the client. The lifecycle of a bean in the BeanFactory is further described in Section 3.4.1, “Lifecycle interfaces”.
A class which implements the org.springframework.beans.factory.BeanFactoryAware interface is provided with a reference to the BeanFactory that created it, when it is created by that BeanFactory.
public interface BeanFactoryAware { /** * Callback that supplies the owning factory to a bean instance. * <p>Invoked after population of normal bean properties but before an init * callback like InitializingBean's afterPropertiesSet or a custom init-method. * @param beanFactory owning BeanFactory (may not be null). * The bean can immediately call methods on the factory. * @throws BeansException in case of initialization errors * @see BeanInitializationException */ void setBeanFactory(BeanFactory beanFactory) throws BeansException; }
This allows beans to manipulate the BeanFactory that created them programmatically, through the org.springframework.beans.factory.BeanFactory interface, or by casting the reference to a known subclass of this which exposes additional functionality. Primarily this would consist of programmatic retrieval of other beans. While there are cases when this capability is useful, it should generally be avoided, since it couples the code to Spring, and does not follow the Inversion of Control style, where collaborators are provided to beans as properties.
If a bean implements the org.springframework.beans.factory.BeanNameAware interface and is deployed in a BeanFactory, the BeanFactory will call the bean through this interface to inform the bean of the id it was deployed under. The callback will be Invoked after population of normal bean properties but before an init callback like InitializingBean's afterPropertiesSet or a custom init-method.
The org.springframework.beans.factory.FactoryBean interface is to be implemented by objects that are themselves factories. The BeanFactory interface provides three method:
Object getObject(): has to return an instance of the object this factory creates. The instance can possibly be shared (depending on whether this factory returns singletons or prototypes).
boolean isSingleton(): has to return true if this FactoryBean returns singletons, false otherwise
Class getObjectType(): has to return either the object type returned by the getObject() method or null if the type isn't known in advance
A bean definition potentially contains a large amount of configuration information, including container specific information (i.e. initialization method, static factory method name, etc.) and constructor arguments and property values. A child bean definition is a bean definition which inherits configuration data from a parent definition. It is then able to override some values, or add others, as needed. Using parent and child bean definitions can potentially save a lot of typing. Effectively, this is a form of templating.
When working with a BeanFactory programmatically, child bean definitions are represented by the ChildBeanDefinition class. Most users will never work with them on this level, instead configuring bean definitions declaratively in something like the XmlBeanFactory. In an XmlBeanFactory bean definition, a child bean definition is indicated simply by using the parent attribute, specifying the parent bean as the value of this attribute.
<bean id="inheritedTestBean" abstract="true" class="org.springframework.beans.TestBean"> <property name="name"><value>parent</value></property> <property name="age"><value>1</value></property> </bean> <bean id="inheritsWithDifferentClass" class="org.springframework.beans.DerivedTestBean" parent="inheritedTestBean" init-method="initialize"> <property name="name"><value>override</value></property> <!-- age should inherit value of 1 from parent --> </bean>
A child bean definition will use the bean class from the parent definition if none is specified, but can also override it. In the latter case, the child bean class must be compatible with the parent, i.e. it must accept the parent's property values.
A child bean definition will inherit constructor argument values, property values and method overrides from the parent, with the option to add new values. If init method, destroy method and/or static factory method are specified, they will override the corresponding parent settings.
The remaining settings will always be taken from the child definition: depends on, autowire mode, dependency check, singleton, lazy init.
Note that in the example above, we have explicitly marked the parent bean definition as abstract by using the abstract attribute. In the case that the parent definition does not specify a class:
<bean id="inheritedTestBeanWithoutClass"> <property name="name"><value>parent</value></property> <property name="age"><value>1</value></property> </bean> <bean id="inheritsWithClass" class="org.springframework.beans.DerivedTestBean" parent="inheritedTestBeanWithoutClass" init-method="initialize"> <property name="name"><value>override</value></property> <!-- age should inherit value of 1 from parent --> </bean>
the parent bean cannot get instantiated on its own since it is incomplete, and it's also considered abstract. When a definition is considered abstract like this (explicitly or implicitly), it's usable just as a pure template or abstract bean definition that will serve as parent definition for child definitions. Trying to use such an abstract parent bean on its own (by referring to it as a ref property of another bean, or doing an explicit getBean() call with the parent bean id, will result in an error. Similarly, the container's internal preInstantiateSingletons method will completely ignore bean definitions which are considered abstract.
Important Note: Application contexts (but not simple bean factories) will by default pre-instantiate all singletons. Therefore it is important (at least for singleton beans) that if you have a (parent) bean definition which you intend to use only as a template, and this definition specifies a class, you must make sure to set the abstract attribute to true, otherwise the application context will actually pre-instantiate it.
A BeanFactory is essentially nothing more than the interface for an advanced factory capable of maintaining a registry of different beans and their dependencies. The BeanFactory enables you to read bean definitions and access them using the bean factory. When using just the BeanFactory you would create one and read in some bean definitions in the XML format as follows:
InputStream is = new FileInputStream("beans.xml"); XmlBeanFactory factory = new XmlBeanFactory(is);
Basically that's all there is to it. Using getBean(String) you can retrieve instances of your beans. You'll get a reference to the same bean if you defined it as a singleton (the default) or you'll get a new instance each time if you set singleton to false. The client-side view of the BeanFactory is surprisingly simple. The BeanFactory interface has only five methods for clients to call:
boolean containsBean(String): returns true if the BeanFactory contains a bean definition or bean instance that matches the given name
Object getBean(String): returns an instance of the bean registered under the given name. Depending on how the bean was configured by the BeanFactory configuration, either a singleton and thus shared instance or a newly created bean will be returned. A BeansException will be thrown when either the bean could not be found (in which case it'll be a NoSuchBeanDefinitionException), or an exception occurred while instantiating and preparing the bean
Object getBean(String,Class): returns a bean, registered under the given name. The bean returned will be cast to the given Class. If the bean could not be cast, corresponding exceptions will be thrown (BeanNotOfRequiredTypeException). Furthermore, all rules of the getBean(String) method apply (see above)
boolean isSingleton(String): determines whether or not the bean definition or bean instance registered under the given name is a singleton or a prototype. If no bean corresponding to the given name could not be found, an exception will be thrown (NoSuchBeanDefinitionException)
String[] getAliases(String): Return the aliases for the given bean name, if any were defined in the bean definition
Sometimes there is a need to ask a BeanFactory for an actual FactoryBean instance itself, not the bean it produces. This may be done by prepending the bean id with & when calling the getBean method of BeanFactory (including ApplicationContext). So for a given FactoryBean with an id myBean, invoking getBean("myBean") on the BeanFactory will return the product of the FactoryBean, but invoking getBean("&myBean") will return the FactoryBean instance itself.
A bean post-processor is a java class which implements the org.springframework.beans.factory.config.BeanPostProcessor interface, which consists of two callback methods. When such a class is registered as a post-processor with the BeanFactory, for each bean instance that is created by the BeanFactory, the post-processor will get a callback from the BeanFactory before any initialization methods (afterPropertiesSet and any declared init method) are called, and also afterwords. The post-processor is free to do what it wishes with the bean, including ignoring the callback completely. A bean post-processor will typically check for marker interfaces, or do something such as wrap a bean with a proxy. Some Spring helper classes are implemented as bean post-processors.
It is important to know that a BeanFactory treats bean post-processors slightly differently than an ApplicationContext. An ApplicationContext will automatically detect any beans which are deployed into it which implement the BeanPostProcessor interface, and register them as post-processors, to be then called appropriately by the factory on bean creation. Nothing else needs to be done other than deploying the post-processor in a similar fashion to any other bean. On the other hand, when using plain BeanFactories, bean post-processors have to manually be explicitly registered, with a code sequence such as the following:
ConfigurableBeanFactory bf = new .....; // create BeanFactory ... // now register some beans // now register any needed BeanPostProcessors MyBeanPostProcessor pp = new MyBeanPostProcessor(); bf.addBeanPostProcessor(pp); // now start using the factory ...
Since this manual registration step is not convenient, and ApplictionContexts are functionally supersets of BeanFactories, it is generally recommended that ApplicationContext variants are used when bean post-processors are needed.
A bean factory post-processor is a java class which implements the org.springframework.beans.factory.config.BeanFactoryPostProcessor interface. It is executed manually (in the case of the BeanFactory) or automatically (in the case of the ApplicationContext) to apply changes of some sort to an entire BeanFactory, after it has been constructed. Spring includes a number of pre-existing bean factory post-processors, such as PropertyResourceConfigurer and PropertyPlaceHolderConfigurer, both described below, and BeanNameAutoProxyCreator, very useful for wrapping other beans transactionally or with any other kind of proxy, as described later in this manual. The BeanFactoryPostProcessor can be used to add custom editors (as also mentioned in Section 3.9, “Registering additional custom PropertyEditors”).
In a BeanFactory, the process of applying a BeanFactoryPostProcessor is manual, and will be similar to this:
XmlBeanFactory factory = new XmlBeanFactory(new FileSystemResource("beans.xml")); // create placeholderconfigurer to bring in some property // values from a Properties file PropertyPlaceholderConfigurer cfg = new PropertyPlaceholderConfigurer(); cfg.setLocation(new FileSystemResource("jdbc.properties")); // now actually do the replacement cfg.postProcessBeanFactory(factory);
An ApplicationContext will detect any beans which are deployed into it which implement the BeanFactoryPostProcessor interface, and automatically use them as bean factory post-processors, at the appropriate time. Nothing else needs to be done other than deploying these post-processor in a similar fashion to any other bean.
Since this manual step is not convenient, and ApplictionContexts are functionally supersets of BeanFactories, it is generally recommended that ApplicationContext variants are used when bean factory post-processors are needed.
The PropertyPlaceholderConfigurer, implemented as a bean factory post-processor, is used to externalize some property values from a BeanFactory definition, into another separate file in Java Properties format. This is useful to allow the person deploying an application to customize some key properties (for example database URLs, usernames and passwords), without the complexity or risk of modifying the main XML definition file or files for the BeanFactory.
Consider a fragment from a BeanFactory definition, where a DataSource with placeholder values is defined:
In the example below, a datasource is defined, and we will configure some properties from an external Properties file. At runtime, we will apply a PropertyPlaceholderConfigurer to the BeanFactory which will replace some properties of the datasource:
<bean id="dataSource" class="org.apache.commons.dbcp.BasicDataSource" destroy-method="close"> <property name="driverClassName"><value>${jdbc.driverClassName}</value></property> <property name="url"><value>${jdbc.url}</value></property> <property name="username"><value>${jdbc.username}</value></property> <property name="password"><value>${jdbc.password}</value></property> </bean>
The actual values come from another file in Properties format:
jdbc.driverClassName=org.hsqldb.jdbcDriver jdbc.url=jdbc:hsqldb:hsql://production:9002 jdbc.username=sa jdbc.password=root
To use this with a BeanFactory, the bean factory post-processor is manually executed on it:
XmlBeanFactory factory = new XmlBeanFactory(new FileSystemResource("beans.xml")); PropertyPlaceholderConfigurer cfg = new PropertyPlaceholderConfigurer(); cfg.setLocation(new FileSystemResource("jdbc.properties")); cfg.postProcessBeanFactory(factory);
Note that ApplicationContexts are able to automatically recognize and apply beans deployed in them which implement BeanFactoryPostProcessor. This means that as described here, applying PropertyPlaceholderConfiguer is much more convenient when using an ApplicationContext. For this reason, it is recommended that users wishing to use this or other bean factory postprocessors use an ApplicationContext instead of a BeanFactory.
The PropertyPlaceHolderConfigurer doesn't only look for properties in the Properties file you specify, but also checks against the Java System properties if it cannot find a property you are trying to use. This behavior can be customized by setting the systemPropertiesMode property of the configurer. It has three values, one to tell the configurer to always override, one to let it never override and one to let it override only if the property cannot be found in the properties file specified. Please consult the JavaDoc for the PropertiesPlaceHolderConfigurer for more information.
The PropertyOverrideConfigurer, another bean factory post-processor, is similar to the PropertyPlaceholderConfigurer, but in contrast to the latter, the original definitions can have default values or no values at all for bean properties. If an overriding Properties file does not have an entry for a certain bean property, the default context definition is used.
Note that the bean factory definition is not aware of being overridden, so it is not immediately obvious when looking at the XML definition file that the override configurer is being used. In case that there are multiple PropertyOverrideConfigurers that define different values for the same bean property, the last one will win (due to the overriding mechanism).
Properties file configuration lines are expected to be in the format:
beanName.property=value
An example properties file could look like:
dataSource.driverClassName=com.mysql.jdbc.Driver dataSource.url=jdbc:mysql:mydb
This example file would be usable against a BeanFactory definition which contains a bean in it called dataSource, which has driver and url properties.
When setting bean properties as a string value, a BeanFactory ultimately uses standard JavaBeans PropertyEditors to convert these Strings to the complex type of the property. Spring pre-registers a number of custom PropertyEditors (for example, to convert a classname expressed as a string into a real Class object). Additionally, Java's standard JavaBeans PropertyEditor lookup mechanism allows a PropertyEditor for a class to be simply named appropriately and placed in the same package as the class it provides support for, to be found automatically.
If there is a need to register other custom PropertyEditors, there are several mechanisms available.
The most manual approach, which is not normally convenient or recommended, is to simply use the registerCustomEditor() method of the ConfigurableBeanFactory interface, assuming you have a BeanFactory reference.
The more convenient mechanism is to use a special bean factory post-processor called CustomEditorConfigurer. Although bean factory post-processors can be used semi-manually with BeanFactories, this one has a nested property setup, so it is strongly recommended that, as described here, it is used with the ApplicationContext, where it may be deployed in similar fashion to any other bean, and automatically detected and applied.
Note that all bean factories and application contexts automatically use a number of built-in property editors, through their use of something called a BeanWrapper to handle property conversions. The standard property editors that the BeanWrapper registers are listed in the next chapter. Additionally, ApplicationContexts also override or add an additional 3 editors to handle resource lookups in a manner appropriate to the specific application context type. Thee are: InputStreamEditor, ResourceEditor and URLEditor.
While the beans package provides basic functionality for managing and manipulating beans, often in a programmatic way, the context package adds ApplicationContext, which enhances BeanFactory functionality in a more framework-oriented style. Many users will use ApplicationContext in a completely declarative fashion, not even having to create it manually, but instead relying on support classes such as ContextLoader to automatically start an ApplicationContext as part of the normal startup process of a J2EE web-app. Of course, it is still possible to programmatically create an ApplicationContext.
The basis for the context package is the ApplicationContext interface, located in the org.springframework.context package. Deriving from the BeanFactory interface, it provides all the functionality of BeanFactory. To allow working in a more framework-oriented fashion, using layering and hierarchical contexts, the context package also provides the following:
MessageSource, providing access to messages in, i18n-style
Access to resources, such as URLs and files
Event propagation to beans implementing the ApplicationListener interface
Loading of multiple (hierarchical) contexts, allowing each to be focused on one particular layer, for example the web layer of an application
As the ApplicationContext includes all functionality of the BeanFactory, it is generally recommended that it be used over the BeanFactory, except for a few limited situations such as perhaps in an Applet, where memory consumption might be critical, and a few extra kilobytes might make a difference. The following sections described functionality which ApplicationContext adds to basic BeanFactory capabilities.
As already stated in the previous section, the ApplicationContext has a couple of features that distinguish it from the BeanFactory. Let us review them one-by-one.
The ApplicationContext interface extends an interface called MessageSource, and therefore provides messaging (i18n or internationalization) functionality. Together with the NestingMessageSource, capable of resolving hierarchical messages, these are the basic interfaces Spring provides to do message resolution. Let's quickly review the methods defined there:
String getMessage (String code, Object[] args, String default, Locale loc): the basic method used to retrieve a message from the MessageSource. When no message is found for the specified locale, the default message is used. Any arguments passed in are used as replacement values, using the MessageFormat functionality provided by the standard library.
String getMessage (String code, Object[] args, Locale loc): essentially the same as the previous method, but with one difference: no default message can be specified; if the message cannot be found, a NoSuchMessageException is thrown.
String getMessage(MessageSourceResolvable resolvable, Locale locale): all properties used in the methods above are also wrapped in a class named MessageSourceResolvable, which you can use via this method.
When an ApplicationContext gets loaded, it automatically searches for a MessageSource bean defined in the context. The bean has to have the name messageSource. If such a bean is found, all calls to the methods described above will be delegated to the message source that was found. If no message source was found, the ApplicationContext attempts to see if it has a parent containing a bean with the same name. If so, it uses that bean as the MessageSource. If it can't find any source for messages, an empty StaticMessageSource will be instantiated in order to be able to accept calls to the methods defined above.
Spring currently provides two MessageSource implementations. These are the ResourceBundleMessageSource and the StaticMessageSource. Both implement NestingMessageSource in order to do nested messaging. The StaticMessageSource is hardly ever used but provides programmatic ways to add messages to the source. The ResourceBundleMessageSource is more interesting and is the one we will provides an example for:
<beans> <bean id="messageSource" class="org.springframework.context.support.ResourceBundleMessageSource"> <property name="basenames"> <list> <value>format</value> <value>exceptions</value> <value>windows</value> </list> </property> </bean> </beans>
This assumes you have three resource bundles defined on your classpath called format, exceptions and windows. Using the JDK standard way of resolving messages through ResourceBundles, any request to resolve a message will be handled. TODO: SHOW AN EXAMPLE
Event handling in the ApplicationContext is provided through the ApplicationEvent class and ApplicationListener interface. If a bean which implements the ApplicationListener interface is deployed into the context, every time an ApplicationEvent gets published to the ApplicationContext, that bean will be notified. Essentially, this is the standard Observer design pattern. Spring provides three standard events:
Table 3.4. Built-in Events
Event | Explanation |
---|---|
ContextRefreshedEvent | Event published when the ApplicationContext is initialized or refreshed. Initialized here means that all beans are loaded, singletons are pre-instantiated and the ApplicationContext is ready for use |
ContextClosedEvent | Event published when the ApplicationContext is closed, using the close() method on the ApplicationContext. Closed here means that singletons are destroyed |
RequestHandledEvent | A web-specific event telling all beans that a HTTP request has been serviced (i.e. this will be published after the request has been finished). Note that this event is only applicable for web applications using Spring's DispatcherServlet |
Implementing custom events can be done as well. Simply call the publishEvent() method on the ApplicationContext, specifying a parameter which is an instance of your custom event class implementing ApplicationEvent. Let's look at an example. First, the ApplicationContext:
<bean id="emailer" class="example.EmailBean"> <property name="blackList"> <list> <value>black@list.org</value> <value>white@list.org</value> <value>john@doe.org</value> </list> </property> </bean> <bean id="blackListListener" class="example.BlackListNotifier"> <property name="notificationAddress"> <value>spam@list.org</value> </property> </bean>
and then, the actual beans:
public class EmailBean implements ApplicationContextAware { /** the blacklist */ private List blackList; public void setBlackList(List blackList) { this.blackList = blackList; } public void setApplicationContext(ApplicationContext ctx) { this.ctx = ctx; } public void sendEmail(String address, String text) { if (blackList.contains(address)) { BlackListEvent evt = new BlackListEvent(address, text); ctx.publishEvent(evt); return; } // send email } } public class BlackListNotifier implement ApplicationListener { /** notification address */ private String notificationAddress; public void setNotificationAddress(String notificationAddress) { this.notificationAddress = notificationAddress; } public void onApplicationEvent(ApplicationEvent evt) { if (evt instanceof BlackListEvent) { // notify appropriate person } } }
Of course, this particular example could probably be implemented in better ways (perhaps by using AOP features), but it should be sufficient to illustrate the basic event mechanism.
Many applications need to access resources. Resources could include files, but also things like web pages or NNTP newsfeeds. Spring provides a clean and transparent way of accessing resources in a protocol independent way. The ApplicationContext interface includes a method (getResource(String)) to take care of this.
The Resource class defines a couple of methods that are shared across all Resource implementations:
Table 3.5. Resource functionality
Method | Explanation |
---|---|
getInputStream() | Opens an InputStream on the resource and returns it |
exists() | Checks if the resource exists, returning false if it doesn't |
isOpen() | Will return true is multiple streams cannot be opened for this resource. This will be false for some resources, but file-based resources for instance, cannot be read multiple times concurrently |
getDescription() | Returns a description of the resource, often the fully qualified file name or the actual URL |
A couple of Resource implementations are provided by Spring. They all need a String representing the actual location of the resource. Based upon that String, Spring will automatically choose the right Resource implementation for you. When asking an ApplicationContext for a resource first of all Spring will inspect the resource location you're specifying and look for any prefixes. Depending on the implementation of the ApplicationContext more or less Resource implementations are available. Resources can best be configured by using the ResourceEditor and for example the XmlBeanFactory.
The BeanFactory already offers a number of mechanisms to control the lifecycle of beans deployed in it (such as marker interfaces like InitializingBean or DisposableBean, their configuration only equivalents such as the init-method and destroy-method attributes in an XmlBeanFactory config, and bean post-processors. In an ApplicationContext, all of these still work, but additional mechanisms are added for customizing behavior of beans and the container.
All marker interfaces available with BeanFactories still work. The ApplicationContext does add one extra marker interface which beans may implement, org.springframework.context.ApplicationContextAware. A bean which implements this interface and is deployed into the context will be called back on creation of the bean, using the interface's setApplicationContext() method, and provided with a reference to the context, which may be stored for later interaction with the context.
Bean post-processors, java classes which implement the org.springframework.beans.factory.config.BeanPostProcessor interface, have already been mentioned. It is worth mentioning again here though, that post-processors are much more convenient to use in ApplicationContexts than in plain BeanFactories. In an ApplicationContext, any deployed bean which implements the above marker interface is automatically detected and registered as a bean post-processor, to be called appropriately at creation time for each bean in the factory.
Bean factory post-processors, java classes which implement the org.springframework.beans.factory.config.BeanFactoryPostProcessor interface, have already been mentioned. It is worth mentioning again here though, that bean factory post-processors are much more convenient to use in ApplicationContexts than in plain BeanFactories. In an ApplicationContext, any deployed bean which implements the above marker interface is automatically detected as a bean factory post-processor, to be called at the appropriate time.
The PropertyPlaceholderConfigurer has already been described, as used with a BeanFactory. It is worth mentioning here though, that it is generally more convenient to use it with an ApplicationContext, since the context will automatically recognize and apply any bean factory post-processors, such as this one, when they are simply deployed into it like any other bean. There is no need for a manual step to execute it.
<!-- property placeholder post-processor --> <bean id="placeholderConfig" class="org.springframework.beans.factory.config.PropertyPlaceholderConfigurer"> <property name="location"><value>jdbc.properties</value></property> </bean>
As previously mentioned, standard JavaBeans PropertyEditors are used to convert property values expressed as strings to the actual complex type of the property. CustomEditorConfigurer, a bean factory post-processor, may be used to conveniently add support for additional PropertyEditors to an ApplicationContext.
Consider a user class ExoticType, and another class DependsOnExoticType which needs ExoticType set as a property:
public class ExoticType { private String name; public ExoticType(String name) { this.name = name; } } public class DependsOnExoticType { private ExoticType type; public void setType(ExoticType type) { this.type = type; } }
When things are properly set up, we want to be able to assign the type property as a string, which a PropertyEditor will behind the scenes convert into a real ExoticType object.:
<bean id="sample" class="example.DependsOnExoticType"> <property name="type"><value>aNameForExoticType</value></property> </bean>
The PropertyEditor could look similar to this:
// converts string representation to ExoticType object public class ExoticTypeEditor extends PropertyEditorSupport { private String format; public void setFormat(String format) { this.format = format; } public void setAsText(String text) { if (format != null && format.equals("upperCase")) { text = text.toUpperCase(); } ExoticType type = new ExoticType(text); setValue(type); } }
Finally, we use CustomEditorConfigurer to register the new PropertyEditor with the ApplicationContext, which will then be able to use it as needed.:
<bean id="customEditorConfigurer" class="org.springframework.beans.factory.config.CustomEditorConfigurer"> <property name="customEditors"> <map> <entry key="example.ExoticType"> <bean class="example.ExoticTypeEditor"> <property name="format"> <value>upperCase</value> </property> </bean> </entry> </map> </property> </bean>
PropertyPathFactoryBean is a FactoryBean that evaluates a property path on a given target object. The target object can be specified directly or via a bean name. This value may then be used in another bean definition as a property value or constructor argument.
Here's an example where a path is used against another bean, by name:
// target bean to be referenced by name <bean id="person" class="org.springframework.beans.TestBean" singleton="false"> <property name="age"><value>10</value></property> <property name="spouse"> <bean class="org.springframework.beans.TestBean"> <property name="age"><value>11</value></property> </bean> </property> </bean> // will result in 11, which is the value of property 'spouse.age' of bean 'person' <bean id="theAge" class="org.springframework.beans.factory.config.PropertyPathFactoryBean"> <property name="targetBeanName"><value>person</value></property> <property name="propertyPath"><value>spouse.age</value></property> </bean>
In this example, a path is evaluated against an inner bean:
// will result in 12, which is the value of property 'age' of the inner bean <bean id="theAge" class="org.springframework.beans.factory.config.PropertyPathFactoryBean"> <property name="targetObject"> <bean class="org.springframework.beans.TestBean"> <property name="age"><value>12</value></property> </bean> </property> <property name="propertyPath"><value>age</value></property> </bean>
There is also a shortcut form, where the bean name is the property path.
// will result in 10, which is the value of property 'age' of bean 'person' <bean id="person.age" class="org.springframework.beans.factory.config.PropertyPathFactoryBean"/>
This form does mean that there is no choice in the name of the bean, any reference to it will also have to use the same id, which is the path. Of curse, if used as an inner bean, there is no need to refer to it at all:
<bean id="..." class="..."> <proprty name="age"> <bean id="person.age" class="org.springframework.beans.factory.config.PropertyPathFactoryBean"/> </property> </bean>
The result type may be specifically set in the actual definition. This is not necessary for most use cases, but can be of use for some. Please see the JavaDocs for more info on this feature.
FileRetrievingFactoryBean is a FactoryBean which retrieves a static or non-static field value. It is typically used for retrieving public static final constants, which may then be used to set a property value or constructor arg for another bean.
Here's an example which shows how a static field is exposed, by using the staticField property:
<bean id="myField" class="org.springframework.beans.factory.config.FieldRetrievingFactoryBean"> <property name="staticField"><value>java.sql.Connection.TRANSACTION_SERIALIZABLE</value></property> </bean>
There's also a convenience usage form where the static field is specified as a bean name:
<bean id="java.sql.Connection.TRANSACTION_SERIALIZABLE" class="org.springframework.beans.factory.config.FieldRetrievingFactoryBean"/>
This means there is no longer any choice in what the bean id is (so any other bean that refers to it will also have to use this longer name), but this form is very concise to define, and very convenient to use as an inner bean since the id doesn't have to be specified for the bean reference:
<bean id="..." class="..."> <proprty name="isolation"> <bean id="java.sql.Connection.TRANSACTION_SERIALIZABLE" class="org.springframework.beans.factory.config.FieldRetrievingFactoryBean"/> </property> </bean>
It's also possible to access a non-static field of another bean, as described in the JavaDocs.
it is sometimes necessary to call a static or non-static method in one class, just to perform some sort of initialization, before some other class is used. Additionally, it is sometimes necessary to set a property on a bean, as the result of a method call on another bean in the container, or a static method call on any arbitrary class. For both of these purposes, a helper class called MethodInvokingFactoryBean may be used. This is a FactoryBean which returns a value which is the result of a static or instance method invocation.
We would however recommend that for the second use case, factory-methods, described previously, are a better all around choice.
An example (in an XML based BeanFactory definition) of a bean definition which uses this class to force some sort of static initialization:
<bean id="force-init" class="org.springframework.beans.factory.config.MethodInvokingFactoryBean"> <property name="staticMethod"><value>com.example.MyClass.initialize</value></property> </bean> <bean id="bean1" class="..." depends-on="force-init"> ... </bean>
Note that the definition for bean1 has used the depends-on attribute to refer to the force-init bean, which will trigger initializing force-init first, and thus calling the static initializer method, when bean1 is first initialized.
Here's an example of a bean definition which uses this class to call a static factory method:
<bean id="myClass" class="org.springframework.beans.factory.config.MethodInvokingFactoryBean"> <property name="staticMethod"><value>com.whatever.MyClassFactory.getInstance</value></property> </bean>
An example of calling a static method then an instance method to get at a Java System property. Somewhat verbose, but it works.
<bean id="sysProps" class="org.springframework.beans.factory.config.MethodInvokingFactoryBean"> <property name="targetClass"><value>java.lang.System</value></property> <property name="targetMethod"><value>getProperties</value></property> </bean> <bean id="javaVersion" class="org.springframework.beans.factory.config.MethodInvokingFactoryBean"> <property name="targetObject"><ref local="sysProps"/></property> <property name="targetMethod"><value>getProperty</value></property> <property name="arguments"> <list> <value>java.version</value> </list> </property> </bean>
Note that as it is expected to be used mostly for accessing factory methods, MethodInvokingFactoryBean by default operates in a singleton fashion. The first request by the container for the factory to produce an object will cause the specified method invocation, whose return value will be cached and returned for the current and subsequent requests. An internal singleton property of the factory may be set to false, to cause it to invoke the target method each time it is asked for an object.
A static target method may be specified by setting the targetMethod property to a String representing the static method name, with targetClass specifying the Class that the static method is defined on. Alternatively, a target instance method may be specified, by setting the targetObject property as the target object, and the targetMethod property as the name of the method to call on that target object. Arguments for the method invocation may be specified by setting the args property.
It's often useful to split up container definitions into multiple XML files. One way to then load an application context which is configured from all these XML fragments is to use the application context constructor which takes multiple Resource locations. With a bean factory, a bean definition reader can be used multiple times to read definitions from each file in turn.
Generally, the Spring team prefers the above approach, since it keeps container configurations files unaware of the fact that they are being combined with others. However, an alternate approach is to from one XML bean definition file, use one or more instances of the import element to load definitions from one or more other files. Any import elements must be placed before bean elements in the file doing the importing. Let's look at a sample:
<beans> <import resource="services.xml"/> <import resource="resources/messageSource.xml"/> <import resource="/resources/themeSource.xml"/> <bean id="bean1" class="..."/> <bean id="bean2" class="..."/> . . .
In this example, external bean definitions are being loaded from 3 files, services.xml, messageSource.xml, and themeSource.xml. All location paths are considered relative to the definition file doing the importing, so services.xml in this case must be in the same directory or classpath location as the file doing the importing, while messageSource.xml and themeSource.xml must be in a resources location below the location of the importing file. As you can see, a leading slash is actually ignored, but given that these are considered relative paths, it is probably better form not to use the slash at all.
The contents of the files being imported must be fully valid XML bean definition files according to the DTD, including the top level beans element.
As opposed to the BeanFactory, which will often be created programmatically, ApplicationContexts can be created declaratively using for example a ContextLoader. Of course you can also create ApplicationContexts programmatically using one of the ApplicationContext implementations. First, let's examine the ContextLoader and its implementations.
The ContextLoader has two implementations: the ContextLoaderListener and the ContextLoaderServlet. They both have the same functionality but differ in that the listener cannot be used in Servlet 2.2 compatible containers. Since the Servlet 2.4 specification, listeners are required to initialize after startup of a web application. A lot of 2.3 compatible containers already implement this feature. It is up to you as to which one you use, but all things being equal you should probably prefer ContextLoaderListener; for more information on compatibility, have a look at the JavaDoc for the ContextLoaderServlet.
You can register an ApplicationContext using the ContextLoaderListener as follows:
<context-param> <param-name>contextConfigLocation</param-name> <param-value>/WEB-INF/daoContext.xml /WEB-INF/applicationContext.xml</param-value> </context-param> <listener> <listener-class>org.springframework.web.context.ContextLoaderListener</listener-class> </listener> <!-- OR USE THE CONTEXTLOADERSERVLET INSTEAD OF THE LISTENER <servlet> <servlet-name>context</servlet-name> <servlet-class>org.springframework.web.context.ContextLoaderServlet</servlet-class> <load-on-startup>1</load-on-startup> </servlet> -->
The listener inspects the contextConfigLocation parameter. If it doesn't exist, it'll use /WEB-INF/applicationContext.xml as a default. When it does exist, it'll separate the String using predefined delimiters (comma, semi-colon and space) and use the values as locations where application contexts will be searched for. The ContextLoaderServlet can - as said - be used instead of the ContextLoaderListener. The servlet will use the contextConfigLocation parameter just as the listener does.
The majority of the code inside an application is best written in a Dependency Injection (Inversion of Control) style, where that code is served out of a BeanFactory or ApplicationContext container, has its own dependencies supplied by the container when it is created, and is completely unaware of the container. However, for the small glue layers of code that are sometimes needed to tie other code together, there is sometimes a need for singleton (or quasi-singleton) style access to a BeanFactory or ApplicationContext. For example, third party code may try to construct new objects directly (Class.forName() style), without the ability to force it to get these objects out of a BeanFactory. If the object constructed by the third party code is just a small stub or proxy, which then uses a singleton style access to a BeanFactory/ApplicationContext to get a real object to delegate to, then inversion of control has still been achieved for the majority of the code (the object coming out of the BeanFactory); thus most code is still unaware of the container or how it is accessed, and remains uncoupled from other code, with all ensuing benefits. EJBs may also use this stub/proxy approach to delegate to a plain java implementation object, coming out of a BeanFactory. While the BeanFactory ideally does not have to be a singleton, it may be unrealistic in terms of memory usage or initialization times (when using beans in the BeanFactory such as a Hibernate SessionFactory) for each bean to use its own, non-singleton BeanFactory.
As another example, in a complex J2EE apps with multiple layers (i.e. various JAR files, EJBs, and WAR files packaged as an EAR), with each layer having its own ApplicationContext definition (effectively forming a hierarchy), the preferred approach when there is only one web-app (WAR) in the top hierarchy is to simply create one composite ApplicationContext from the multiple XML definition files from each layer. All the ApplicationContext variants may be constructed from multiple definition files in this fashion. However, if there are multiple sibling web-apps at the top of the hierarchy, it is problematic to create an ApplicationContext for each web-app which consists of mostly identical bean definitions from lower layers, as there may be issues due to increased memory usage, issues with creating multiple copies of beans which take a long time to initialize (i.e. a Hibernate SessionFactory), and possible issues due to side-effects. As an alternative, classes such as ContextSingletonBeanFactoryLocator or SingletonBeanFactoryLocator may be used to demand load multiple hierarchical (i.e. one is a parent of another) BeanFactories or ApplicationContexts in an effectively singleton fashion, which may then be used as the parents of the web-app ApplicationContexts. The result is that bean definitions for lower layers are loaded only as needed, and loaded only once.
You can see a detailed example of using SingletonBeanFactoryLocator and ContextSingletonBeanFactoryLocator by viewing their respective JavaDocs.
As mentioned in the chapter on EJBs, the Spring convenience base classes for EJBs normally use a non-singleton BeanFactoryLocator implementation, which is easily replaced by the use of SingletonBeanFactoryLocator and ContextSingletonBeanFactoryLocator if there is a need.